Quel beau mois de mai pour le Futuroscope ! La configuration de cette semaine très particulière à 2 jours fériés a permis à la fréquentation de bien s'étaler bien sur les 3 ponts, au maximum 13000 pax/jour, ce qui reste acceptable pour la satisfaction, au lieu d'un habituel pic au pont de l'Ascension.

Article de Centre Presse :

Les ponts font du bien au Futuroscope

Grosse affluence cette semaine au Futuroscope après un début de saison compliqué. Le parc gère 12 à 13.000 personnes par jour, à ne pas décevoir.

Une heure vingt de patience. C'était le temps d'attente le plus long à certains moments de la journée d'hier, jeudi de l'Ascension. Le Futuroscope a connu pire, il y a un an, avec un record historique de 20.000 visiteurs le vendredi du pont de l'Ascension (26 mai 2017). Pire pour les visiteurs, obligés d'attendre plus de deux heures pour faire un Extraordinaire voyage? « C'est peut-être mieux pour le chiffre d'affaires, mais négatif pour le taux de satisfaction. On doit toujours ménager cet équilibre », commente Rodolphe Bouin. Pour le nouveau président du directoire qui a succédé à Dominique Hummel, c'est « supportable jusqu'à 15.000 personnes. Il nous est arrivé de proposer aux gens sur le site internet de décaler leur voyage. Pas besoin cette année, grâce à cette semaine particulière avec deux jours fériés ».

600.000 visiteurs depuis la réouverture en février

C'est aussi pour la première fois, une cinquième semaine de vacances de printemps, les académies d'Orléans-Tours, Caen, Nantes, Rouen et Rennes ayant décalé les leurs. Résultat, pas de pics mais plus de monde. « On reçoit 12 à 13.000 personnes chaque jour cette semaine », commente Rodolphe Bouin, assez sûr de ses prévisions. « Les deux-tiers de la clientèle réservent et ceux qui viennent en direct se comportent de la même façon. Grâce à des algorithmes précis, on arrive à des prévisions fiables à mille près, ce qui nous permet de bien dimensionner le parc. »

La satisfaction d'abord

Des chiffres qui font du bien après un début de saison compliqué. « En février-mars, le démarrage a été timide. La météo a été mauvaise avec des routes inaccessibles, de la neige? » Les grèves des cheminots ont un impact que le parc n'a pas encore mesuré, notamment sur des réservations annulées par des visiteurs en provenance de la région parisienne ou pour des séminaires annulés. C'est dire si le décollage printanier redonne le sourire au patron du parc. « On a comparé les chiffres avec ceux de l'année dernière, qui a été une très bonne année, l'année des 30 ans avec près de 2 millions de visiteurs. On est sur les mêmes bases à la fin de cette cinquième semaine de vacances, comparées à la fin des vacances 2017, soit environ 600.000 visiteurs. » Vise-t-il de faire mieux que 2017 ? Pas de course en avant, rétorque Rodolphe Bouin qui revient à son cheval de bataille : la satisfaction du visiteur. « Être autour de 2 millions nous convient bien, il faut trouver le bon alliage entre chiffre d'affaires (108 m€ en 2017) et la satisfaction. »

Horaires extensibles

Comment chouchouter les visiteurs ? La première façon, c'est de leur éviter de trop longues attentes. D'où des horaires extensibles de 8 h à 23 h, avec deux spectacles nocturnes et des attractions ouvertes non stop. Ce qui a un coût en masse salariale : « Un millier de personnes travaillent chaque jour lors de ces fortes affluences. » Les dernières nouveautés (Extraordinaire voyage, Sébastien Loeb, Thomas Pesquet) qui s'ajoutent aux incontournables contribuent à lisser les files d'attente. « On va continuer sur ce rythme », promet Rodolphe Bouin. Des animations sont recherchées pour animer les extérieurs cet été. Et dès maintenant, une équipe d'ambianceurs est formée pour animer les pré-salles avec des jeux, du maquillage pour les enfants, des sculptures de ballons, de la magie, sans oublier la distribution de boissons qui fait toujours plaisir.

Invité de "Dimanche en Politique" spécial tourisme sur France 3 Poitou-Charentes, Rodolphe Bouin précise que le début de saison a été timide en raison de la météo (neige), mais le beau temps depuis a permis de rattraper ce retard.
L'objectif est de stabiliser la fréquentation du parc à 2 millions de visiteurs par an, cette année et l'année prochaine.

Bonjour
Voilà on m'a offert l'année dernière un billet 1 jour à date libre acheté sur un internet le 23/06/17 "valable 1an à partir de la date d'achat" (sur la gauche de l'imprimé) mais dans l'encadré à droite il est inscrit :"Valable 1 jour du 23/06/17 au 28/07/2017 pour un adulte"
Alors j'aimerais savoir si j'ai bien jusqu'au 28/07/2018 pour profiter de ce billet pour venir visiter le Futuroscope.
Je vous remercie de vos réponses

Bonjour Bruno, je ne peux que vous conseiller d'appeler l'agence Futuroscope Destination au 05.49.49.30.80. Un conseiller saura vous répondre précisément sur la validité du billet à partir de son numéro.

Merci beaucoup TCJ,
Je les ai appelés et en fait les billets à date libre sont valables 400 jours à partir de la date d'achat donc c'est bon mon billet est encore valable.
Je vais me dépêcher d'aller vivre de super aventures au Futuroscope.
Ce forum va m'aider à préparer ma visite.

Fréquentation à la mi-saison en baisse par rapport à l'an dernier, selon La Nouvelle République. Même tendance générale à la baisse pour les principaux sites touristiques du département.

Tourisme dans la Vienne : un bilan de mi-saison mitigé

Coupe du monde en début de mois suivie de grosses chaleurs, la saison touristique a peiné à démarrer avec un mois de juillet en demi-teinte.

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Début de saison également difficile au Futuroscope, avec des visiteurs moins enclins à s’enfermer dans les salles obscures lorsque le mercure monte. Les nouveautés de l’été ont tout de même bien fonctionné, notamment le dîner spatial à l’aérobar, avec une estimation à 1.000 visiteurs d’ici fin août, et Sky Jump, le simulateur de chute libre, particulièrement apprécié ces derniers jours de canicule. Globalement, le Parc mise sur une fréquentation de 550.000 visiteurs à la fin de la saison, en légère baisse après trois étés consécutifs à 600.000 vacanciers.

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Rodolphe Bouin parlait il y a quelques semaines de la fréquentation en stagnation dans un entretien dans La Nouvelle République :

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Dominique Hummel avait annoncé le franchissement de la barre des deux millions de visiteurs en 2017. Vous l’avez frôlée de peu. Mais elle ne sera pas atteinte non plus en 2018, année qui s’annonce plus compliquée. Cela reste-t-il un objectif ?

« Non. L’objectif, c’est de stabiliser l’activité autour de deux millions. Si l’année 2018 n’a pas très bien commencé en raison des conditions météo puis de la grève des trains, on a franchi un cap l’an passé. On a désormais une entreprise saine, capable de faire des investissements. Deux millions, pour le moment, c’est un plafond. Ça ne sert à rien d’aller chercher des progressions fortes de fréquentation si on n’a pas les moyens d’assurer en face. »

Le Futuroscope va donc faire du surplace ?

« Absolument pas. Au contraire, nous nous sommes fixé un cap en 2025. D’ici là, il faudra que nous franchissions un palier de fréquentation en disposant de capacités d’accueil plus importantes. Il nous faudra trois grosses attractions phares capables d’accueillir un millier de visiteurs à l’heure. La première est prévue pour fin 2019. Le problème n’est pas le foncier, nous en avons. Mais ce sont de gros investissements. Par attraction nouvelle, il faut compter 15 millions ! »

La fréquentation du parc est en baisse d'environ 5% cette année.

La faute aux grèves SNCF au printemps, à la Coupe du monde et la canicule, explique La Nouvelle République. Et sans doute avec une actualité plus faible que la saison 2017, qui avait été exceptionnelle grâce aux festivités des 30 ans, et SLRX n'a forcément pas le même impact que L'Extraordinaire Voyage, la dernière attraction majeure.

Sur cet été : 525 000 entrées, contre 560 000 l’année dernière, rapporte Le 7. C'est le mois de juillet qui a été le plus défavorable, baisse expliquée par mondial et les fortes chaleurs.

Cela dit, les animations de cet été ont rencontré un franc succès, et la clientèle internationale est en hausse de +5% (et même +19% pour les espagnols).

Info calendrier : en attendant les vacances de Toussaint, le Parc reste ouvert uniquement du jeudi au vendredi.

Fermeture du lundi au mercredi en période scolaire.

Consultez le calendrier d'ouverture sur le site officiel du Parc.

Premier bilan de l'année, perspectives pour le parc et portrait de Rodolphe Bouin dans ce petit article de Challenges :

Comment le Futuroscope entend booster sa fréquentation

Promu président du deuxième parc d’attractions de France au printemps, Rodolphe Bouin, 41 ans, fait déjà le bilan de son premier été : « Nous avons égalé le chiffre d’affaires record de l’année dernière.

Promu président du deuxième parc d’attractions de France au printemps, Rodolphe Bouin, 41 ans, fait déjà le bilan de son premier été : « Nous avons égalé le chiffre d’affaires record de l’année dernière, qui était celle du 30e anniversaire du parc et qui avait donné lieu à des animations et à un marketing soutenu. » Sur 2018, le Futuroscope aura attiré 1,8 million de visiteurs, pour 103 millions d’euros de chiffre d’affaires et 6 millions de bénéfices. Pour ce père de quatre enfants, passionné de rugby et marathonien, le seul bémol est la baisse de fréquentation, de 3 à 5 %, qui reflète un contexte défavorable : « Peu de ponts en mai, la longue grève de la SNCF et la canicule. »

Manager enthousiaste, plus souvent au contact des saisonniers et des clients que dans son bureau, Rodolphe Bouin a fait carrière dans cette entreprise qui appartient à la Compagnie des Alpes (45 %), au département de la Vienne (38 %) et à la Caisse des dépôts (17 %). Contrôle de gestion, direction des opérations, direction des boutiques ou RH : autant dire que ce Charentais se repère les yeux fermés dans son domaine de 60 hectares. Mais s’il a été choisi, c’est surtout parce qu’il incarne le renouvellement dans la continuité après Dominique Hummel, l’homme qui a redressé le parc lorsqu’il était au plus mal il y a dix-sept ans.

« Ma feuille de route est claire, affirme-t-il. Il s'agit de continuer l'innovation permanente en alternant les investissements lourds et moins lourds, et de stabiliser la fréquentation au niveau de 2 millions pendant deux ou trois ans. » Avant une nouvelle phase de croissance dans cinq ans. Rodolphe Bouin mise sur des attractions décapantes et de nouveaux hôtels pour distancer les concurrents qui veulent lui passer devant.

Citation :

le seul bémol est la baisse de fréquentation, de 3 à 5 %, qui reflète un contexte défavorable : « Peu de ponts en mai, la longue grève de la SNCF et la canicule. »

Euh il parle bien de 2018 ? Année où il y a eu 4 week-end prolongés à suivre en mai ? On peut pas avoir plus de pont en mai que cette année
La canicule ? Il n'y a eu qu'un épisode de canicule début août qui a duré 6 jours. Il y a eu une courte vague de chaleur début juillet mais pas une canicule.Et en plus, le parc étant composé en majorité d'attraction en salle, justement la canicule devrait attiré le public vers ces salles non ?
Pour ce qui est de la grêve SNCF, on a des études et des chiffres sur la part de visiteurs qui vient en TGV au parc ?