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La Technopole du Futuroscope
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| TCJ • Administroscope
Sam 21 Juil 2012 - 17:28 | |
| Merci pour l'article ! Oui, il y a encore de très importantes surfaces de terrain sur la Technopole qui restent à urbaniser, surtout ce grand champ entre Plaza et ZTE, là où était projeté le centre aquatique Futuraqua (tombé à l'eau, c'est le cas de le dire ) Je n'étais pas au courant de ce projet de créer un pôle important à la place d'une partie des parkings du parc, mais je l'ai toujours imaginé. Bonne nouvelle, cela rapprochera davantage les deux entités "Parc" et "Technopole", au sens propre comme au figuré. Ce sera l'occasion d'apporter tout ce qui manque au site en général : des vrais logements, des commerces de proximité et surtout quelques activités de loisirs qui manquent actuellement, le tout destinés à la fois aux habitants et aux visiteurs. Enfin bref, espérons que le Futuroscope devienne enfin une "vraie" petite ville avec ces équipements, et par ailleurs on pourra véritablement parler de resort si l'on crée plusieurs équipements de loisirs, qui manquent cruellement aujourd'hui. Mais je verrais plutôt ce pôle implanté sur la grande prairie inoccupée entre l'hôtel Ibis et le parking bus du parc. | |
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| | arnaud-86 • Futuraptor
Ven 7 Sep 2012 - 20:04 | |
| Pour info le LP2I rentre dans les 25 ans il y aura plusieurs évènements |
| | Fabou • Futuraptor
Mer 7 Nov 2012 - 10:28 | |
| Je suppose que vous avez tous vu cette information révélée par 7 à Poitiers (mais avec un titre asez trompeur puisqu'il est question de réduire l'investissement et non de quitter la technopole du Futuroscope) : " ZTE freine les investissements à Poitiers Prenant pour prétexte la mauvaise conjoncture économique et le lent développement des réseaux en France et en Europe, ZTE ralentit ses investissements sur son site de Poitiers. Mauvais signe ? Orage sur l’équipementier ZTE. Déjà en bisbille aux Etats-Unis et au Canada, le constructeur chinois est aussi sous les feux des projecteurs en France (via le rapport de Jean-Marie Bockel) et plus largement en Europe où la Commission Européenne devrait lancer « une procédure d'infraction […] pour concurrence déloyale ». La CE soupçonne ces équipementiers (ZTE et son compatriote Huawei) de profiter de subventions chinoises pour vendre leurs produits en-dessous des coûts de production. « Dès lors, comment expliquer le silence des autorités françaises sur ce sujet ? », interrogeait le sénateur Bockel. Bref, ZTE a connu des temps meilleurs, une époque où les investissements dans l’hexagone était pour lui une superbe opportunité. L’équipementier bénéficie d’ailleurs du soutien du sénateur Jean-Pierre Raffarin, qui devait organiser un rendez-vous avec l’ambassade de Chine la semaine dernière à son cabinet, selon le site 7apoitiers.fr. Nous avons quant à nous réussi à joindre un porte-parole de ZTE qui tient à clarifier la situation : « Le bâtiment actuellement occupé par les équipes de ZTE appartient à l’université de Poitiers, qui nous le loue. Un projet portant sur trois bâtiments (tranches 1, 2 et 3) avait été lancé avec 80 millions d’euros de budget. Le premier bâtiment de 10 000 m² est récemment sorti de terre et nos équipes vont s’y installer », nous précise-t-on. 30 millions d’euros ont été investis dans ce bâtiment, et les 50 millions restants sont pour l’instant gelés. « Nous dépendons du développement des réseaux en France et en Europe. Pour le moment, le contexte n’est pas vraiment favorable et ne devrait pas aller en s’arrangeant, la faute notamment au rapport de Jean-Marie Bockel. Nous sommes en phase de réflexion, d’interrogation… ». Certaines sources parlaient aussi de 1 000 emplois qui ne verront jamais le jour. Mais le porte-parole de ZTE est plus évasif : « nous n’avons jamais avancé ce chiffre. Et pour l’instant, nous ne communiquons pas sur les emplois ». Notons encore que l’équipementier a annoncé au niveau mondial une perte nette de 215 millions d’euros sur son troisième trimestre 2012, clos le 30 septembre. Une conjoncture qui ne devrait pas encourager les dirigeants à investir davantage en France… " Source : http://www.linformaticien.com/actualites/id/26919/zte-freine-les-investissements-a-Poitiers.aspxQu'en pensez-vous? Simple pression politique pour être itnégrée au nouveau plan numérique ou réel retrait du projet plein de promesses pour la technopole???? | |
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| | Fabou • Futuraptor
Mar 16 Avr 2013 - 17:41 | |
| 7 a Poitiers pose aujourd'hui la question des transports en commun du côté du parc :
Futuroscope, l'oublié du BHNS ?
Face au coût du chantier et aux embouteillages redoutés sur la RD910, la Technopole du Futuroscope pourrait bien être écartée de la ligne principale du Bus à haut niveau de service (BHNS). Un autre projet de « RER poitevin » est envisagé.
Peut-on financer les aménagements de voirie nécessaires au passage du Bus à haut niveau de service sur la RD910 (ex-RN10) ? Est-il raisonnable de contenir, sur une seule voie, les 35 000 véhicules qui empruntent chaque jour la portion Poitiers-Futuroscope ? Depuis quelques semaines, ces questions se font de plus en plus pressantes.
Le premier bilan de concertation préalable du 31 octobre 2011 mentionnait déjà ce problème. Il a été rappelé à la mi-mars, lors des Assises de la mobilité, organisées par le Conseil de développement de Poitiers. Concrètement, seule la ligne A est en cause. Une fois le viaduc des Rocs inauguré (novembre 2013), le BHNS devra logiquement remonter la rue de la Roche, puis l’avenue de Nantes pour rejoindre la RD910 par la rocade Ouest. Tout au long de son parcours, ce bus circulera dans un couloir réservé, interdit aux voitures. Et devrait desservir le Futuroscope en un temps record (38 minutes depuis Mignaloux). Le conditionnel est de rigueur car, une fois arrivé au « tripode », les trois nouveaux rond-points de Poitiers-Nord, il sera confronté à une circulation très dense. Difficile d’imaginer que les automobilistes acceptent qu’une voie reste inutilisée pendant qu’ils galèrent dans les embouteillages. Boulevard urbain Le maire de Chasseneuil-du-Poitou réclame des certitudes à ce sujet. Il a beau être favorable aux transports en commun, il ne voudrait pas que les usagers poitevins soient empêchés de se rendre sur la zone commerciale des Portes du Futur. Claude Eidelstein a officiellement demandé au Conseil général de reprendre l’étude visant à transformer la RD910 en « boulevard urbain ». Il vient aussi d’écrire au président de Grand Poitiers, Alain Claeys, qui a la compétence « Transports ». Dans l’esprit de l’élu chasseneuillais, des aménagements de voirie permettraient aux véhicules de circuler et aux piétons de traverser la quatre voies en sécurité. Sous-entendu, le BHNS désavantagerait Chasseneuil... Du côté de la Ville de Poitiers, la priorité est de finaliser les 3,5km de parcours intra-muros d’ici 2018. « On n’en est pas encore là », résume Jean-Jacques Guérin. L’adjoint au maire en charge des Transports précise qu’une « nouvelle étude de faisabilité sera indispensable avant d’envisager une liaison vers le Futuroscope ». Pour l’heure, les lignes 1, 8 et 11 bénéficieront d’un système de priorité aux feux à partir du 20 novembre. Mais pas de couloir réservé. Le montant de l’investissement est estimé à 300M€ (infrastructures et bus). Dans le contexte actuel, toutes les économies seraient bonnes à prendre. Alors tant pis pour le développement durable ? Pas tout à fait. Prévue pour 2017, l’ouverture de la LGV Sud Europe Atlantique, en parallèle de la ligne actuelle, laisse entrevoir de nouveaux projets pour cette dernière. La commission chargée de l’élaboration du Schéma de cohérence territoriale (Scot) planche sérieusement sur une liaison TER à haute fréquence entre Poitiers et Châtellerault. Cette opportunité est aussi l’une des « fiche-action » du Schéma régional de mobilité durable piloté par la Région. Ce « RER poitevin » desservirait toutes les gares entre les deux chefs-lieux, dont la station du Futuroscope. Et après ? Des navettes régulières permettraient aux 10 000 salariés et étudiants de la Technopole de rallier les téléports. On évoque même un petit tramway. | |
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| | TCJ • Administroscope
Mar 16 Avr 2013 - 23:39 | |
| La desserte Poitiers<->Futuroscope en bus n'a jamais été exceptionnelle. Il y a eu des progrès cependant cette année avec la création de la ligne "1 Express" qui fait le trajet un peu plus rapidement en zappant tous les arrêts intermédiaires entre la porte de Paris et les Portes du Futur. Difficile de faire mieux, la D910 est tellement chargée en traffic qu'il est assez peu réaliste d'imaginer un bus en site propre, y a pas la place pour une voie de plus.
Côté voie ferrée, le « RER poitevin » me semble une idée bien plus réaliste, d'autant plus nécessaire quand la LGV SEA sera mise en service. Il en va de la survie les gares du Futuroscope et de Châtellerault qui vont dire adieu pour toujours au TGV.
Enfin, comme il est dit à la fin, il est aussi nécessaire de créer une vraie liaison, sécuritaire, entre la gare TGV et la Technopole, les deux zones étant complètement déconnectées l'une de l'autre, et aucun aménagement piéton pour franchir les échangeurs de la RN10 (Temps Modernes / Auchan) ; hormis la passerelle du Parc qui est utile uniquement aux visiteurs du Parc, mais du coup interdite aux usagers de la Technopole. Un petit tram Gare <-> Entrée principale du Parc <-> Technopole, ce serait génial ! | |
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| | Arthur • Étoile filante
Mer 17 Avr 2013 - 1:09 | |
| Je connais particulièrement bien les problèmes de desserte de la Technopole, en 3 ans j'ai à peu près tout testé et je ne compte plus mes traversées de passerelle/parking à pied ! C'est un peu une arlésienne ces histoires de transport mais le constat est pour le moment mauvais, à moins de posséder une voiture. Il faut sérieusement espérer que les choses bougent, enfin, dans le bon sens. |
| | Fabou • Futuraptor
Jeu 16 Jan 2014 - 17:04 | |
| Un data center à 35M€ sur la Technopole
Le groupe Marcireau et un consortium indien, amené par le Département, viennent de conclure un accord pour bâtir un data center de 5 000 m2, sur la Technopole du Futuroscope. Ouverture prévue dans le premier semestre 2015. Cinquante emplois verront le jour à moyen terme.
Après le rachat partiel de la web agency Actisens en novembre dernier, Marcireau vient de frapper un très grand coup dans l’univers de l’hébergement de données. Implantée à Niort et au pied du Futuroscope, cette PME de 60 salariés (10,845M€ de CA en 2013) a conclu, mardi, un accord de partenariat avec un groupe indien aux ramifications mondiales, pour la construction d’un data center de 5 000 m2 sur la Technopole. Dix-huit mois de négociations auront été nécessaires, sachant que l’investissement s’élève à… 35M€.
« En fait, nous portions depuis deux ans un projet d’extension de notre premier data center, qui arrive à saturation », indique Yves Leroux, directeur général de l’entreprise. L’émergence d’investisseurs indiens, en négociations avec le Conseil général depuis de longs mois, a changé la donne. Si bien que le groupe en question, dont les dirigeants de Marcireau ne souhaitent pas révéler le nom, sera « le premier partenaire et le plus gros client ». Le permis de construire du bâtiment sera déposé en mairie de Chasseneuil courant février, pour une livraison prévue « dans le premier semestre 2015 ».
50 emplois en jeu
L’investissement s’élève à 35M€. Cinquante emplois devraient voir le jour d’ici trois ans, sachant que le data center intégrera « les plus hauts niveaux de sécurité du marché ». Il n’existe que très peu de salles blanches de cette qualité dans l’Hexagone. « La concomitance de notre savoir-faire et de leurs besoins en France a fini de convaincre notre partenaire indien », admet Dominique Pluviaud, co-dirigeant de Marcireau. Le prestige du Futuroscope, autant que son niveau d’équipements (boucle locale, multi-opérateurs disponibles, infrastructures…), a évidemment pesé dans la balance.
« Nous avons de grands clients internationaux et, quand vous parlez du Futuroscope à Düsseldorf, Vienne ou Neuchâtel, les gens savent situer sur une carte. La Technopole est le meilleur choix stratégique », renchérit le dirigeant. Pour la petite histoire, le spécialiste historique de… l’aménagement de bureaux -créé en 1938- avait été sollicité dès 1997 par René Monory pour reprendre Cyberscope, une société alors en difficulté. « Plus de quinze ans après, le Conseil général nous met en relation avec ce partenaire. Sans la collectivité, le projet n’aurait pas eu la même dimension. Nous lui disons merci ! » Aujourd’hui, l’hébergement de données représente 15% du chiffre d’affaires de Marcireau. Demain, le chiffre devrait grimper en flèche.
Un data center, et après ?
Le méga data center de la Technopole pourrait n’être que la première étape d’une collaboration plus étroite entre la Vienne et l’Inde. Une délégation indienne a été reçue la semaine dernière. Des élus du Conseil général s’étaient, eux, rendus en Inde l’été dernier et un nouveau déplacement pourrait avoir lieu en avril. D’autres projets devraient voir le jour. Pour l’heure, le Département ne souhaite pas révéler le nom de son partenaire.
7 à Poitiers | |
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| | TCJ • Administroscope
Ven 17 Jan 2014 - 18:48 | |
| Voici une image de synthèse du bâtiment en projet. Le data center serait donc situé juste au bout du Lac du Téléport (le long de l'A10), le bâtiment fermera donc la perspective entre la boule de la Cité du Numérique et le Lac … Dommage. Source : La Nouvelle République |
| | Futuromy • Administroscope
Sam 7 Sep 2019 - 18:46 | |
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35 ans et vous n'imaginez (toujours) pas ce qui vous attend !
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| | TCJ • Administroscope
Mer 11 Sep 2019 - 22:48 | |
| Pas mal de projets sur la zone, et c'est tant mieux … Il ne s'était pas passé beaucoup de choses depuis 2012-2013 et les flops de ZTE puis du projet de datacenter indien plus récemment |
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La Technopole du Futuroscope
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